Des observations récentes, et des expériences de laboratoire ont réactualisés des problèmes de longue date : Quelles sont les structures à base de carbone les plus stables dans l’espace ? Tous les DIB sont-ils associés à des fullerènes ? Quel est le rôle de la dissipation des chocs/turbulence dans la chimie des nuages diffus ? Les molécules ramifiées d’alkyle, sont-elles une première étape vers des cycles aromatiques ?
Quelle est l’importance relative des chimies top-down et bottom-up sur le budget moléculaire global ? Pourquoi des molécules organiques complexes (COMs) sont-elles détectées dans des environnements inattendus (des coeurs froids, PDR, etc …) ? Pourquoi les COMs sont-elles difficiles à détecter dans les comètes ? Comprenons-nous le lien entre les rapports isotopiques dans le système solaire et l’ISM local ? Que pouvons-nous apprendre des grains pré-solaires ? Comment sont-ils représentatifs de la poussière de l’ISM ? Comment la poussière se forme-t-elle et évolue-t-elle dans les coquilles circumstellaires autour des étoiles évoluées ? De la poussière réfractaire peut-elle être formée dans l’ISM ? Sous quelles formes sont incorporés le fer et le soufre dans les grains de poussière ? Qu’est-ce qui explique les abondances relatives des isomères organiques ? Comment tracer le rapport ortho/para ? Que faut il mesurer en premier dans le cadre d’une la chimie état à état ? Quels sont les composés moléculaires clés a étudier dans l » espace et en laboratoire pour comprendre la chimie interstellaire ? Peut on modéliser la chimie de surface de manière réaliste ? Les états moléculaires excités jouent ils un rôle dans la chimie des PDR ? toutes sortes de questions traitées par le PCMI.